« Même si des politiques d’atténuation agressives étaient bientôt mises en œuvre, les impacts du changement climatique vont s’aggraver dans les décennies à venir. Une réponse proposée est l’injection d’aérosols stratosphériques (IAS)

Étude parue dans la revue scientifique PNAS (https://fr.wikipedia.org/wiki/Proceedings_of_the_National_Academy_of_Sciences) : Potentiel d’échec perçu du déploiement de l’injection d’aérosols stratosphériques

« Même si des politiques d’atténuation agressives étaient bientôt mises en œuvre, les impacts du changement climatique vont s’aggraver dans les décennies à venir. Une réponse proposée est l’injection d’aérosols stratosphériques (IAS), qui refléterait une petite quantité d’énergie solaire vers l’espace, refroidissant ainsi la planète. Cette approche est généralement considérée comme relativement peu coûteuse et simple à déployer, et un refroidissement global pourrait se produire rapidement. Cependant, à l’échelle régionale, la variabilité climatique interne est susceptible de dominer le forçage d’IAS. Cela signifie que dans la décennie suivant le déploiement d’IAS, de nombreuses régions du monde pourraient connaître localement des températures encore plus élevées. Notre étude fournit un aperçu conceptuel de la perception possible de l’échec de l’IAS ou d’autres stratégies d’atténuation du changement climatique.

L’injection d’aérosols stratosphériques (IAS) – le déploiement théorique de particules dans la stratosphère pour améliorer la réflexion du rayonnement solaire entrant – est une stratégie pour ralentir, suspendre ou inverser le réchauffement climatique. Si jamais l’IAS est mise en œuvre, ce sera probablement dans un but précis, comme donner du temps pour mettre en œuvre des stratégies d’atténuation, atténuer les extrêmes ou réduire les chances d’atteindre un point de basculement biogéophysique. À l’aide d’une expérience de modèle climatique d’ensemble qui simule le déploiement d’IAS dans le contexte d’une trajectoire intermédiaire de gaz à effet de serre, nous avons quantifié la probabilité que la variabilité climatique interne masque l’efficacité du déploiement d’IAS sur les températures régionales. Nous avons constaté que même si la température mondiale était stabilisée, d’importantes superficies terrestres continuaient de se réchauffer. Par exemple, dans le scénario d’IAS que nous avons exploré, jusqu’à 55 % de la population mondiale a connu une augmentation des températures au cours de la décennie suivant le déploiement d’IAS et de vastes zones ont présenté une forte probabilité d’années extrêmement chaudes. Ces conditions pourraient faire en sorte que l’IAS soit perçue comme un échec. Les pays avec les plus grandes économies ont connu certaines des plus grandes probabilités de cet échec perçu. »

🔻Source (https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2210036119) (septembre 2022)

Cette publication affirme que « malgré » des épandages massifs pour bloquer la lumière du soleil, on observerait tout de même une augmentation des températures.

Ces épandages provoqueraient-ils en réalité un effet de serre qui empêche la Terre de se refroidir, empoisonnant au passage les populations, la faune, la flore, l’eau, l’air et les sols tout en réduisant la photosynthèse et par conséquent, la production agricole ?

Ce serait dommage que sous prétexte de lutter contre un réchauffement climatique global dû au CO2 sur lequel il n’y a jamais eu de consensus [1 (https://t.me/Janet13_vid/451)] [2 (https://t.me/Janet13_vid/582)] [3 (https://t.me/Janet13_vid/606)] [4 (https://t.me/Janet13_vid/646)], on en créé un de toutes pièces…