Eduardo Verastegui, producteur du film « Sound Of Freedom », est mexicain. Tout comme Jeffrey Epstein, à la base un petit prof de math, il est sorti de nulle part et se retrouve à rencontrer chaque Pape , devenir conseiller du cynique Donald Trump, ou parmi la jet-set nobiliaire et délinquante à Saint-Tropez.

Eduardo Verastegui, producteur du film « Sound Of Freedom », est mexicain.

Tout comme Jeffrey Epstein, à la base un petit prof de math, il est sorti de nulle part et se retrouve à rencontrer chaque Pape , devenir conseiller du cynique Donald Trump, ou parmi la jet-set nobiliaire et délinquante à Saint-Tropez.

Pour en savoir plus, je suis allé voir du côté d’un média mexicain basé aux Etats-Unis ( Verastegui est visiblement protégé au Mexique) et suis tombé sur des investigations autour de cet individu.

Bref, Eduardo Verastegui est, sans aucun doute, un tartuffe.

On apprend ici

 

et là

 

 

,notamment, que :

– Verastegui, qui se dit chaste depuis plus de 10 ans, en réalité aurait régulièrement participé aux orgies sexuelles de son grand ami, l’impuni Antonio Berumen , impliquant des mineurs aussi jeunes que 13 ans . Des orgies fétichistes où il fallait que ces mineurs soient catholiques pour qu’ils soient excitants. Verastegui, selon plusieurs victimes de ces orgies, appréciait particulièrement les fellations.

 

– Verastegui est publiquement homophobe mais aurait eu une relation homosexuelle avec le chanteur Ricky Martin et Enrique Peña Nieto, l’ancien président de la République Mexicaine corrompu et qui n’a pas de loin pas laissé un souvenir impérissable.

– Verastegui a crée une fondation de bienfaisance gérée par son beau-frère ( le mari de sa soeur ) . L’argent des dons devrait servir pour aider les plus démunis. Il se trouve , données fiscales à l’appui, que plus de 50% des charges de la fondation servent à payer des salaires …. surtout celui de son beau-frère ( dont sa soeur profite directement donc) . Que fera-t’il de l’argent récolté avec Sound Of Freedom ?

Et comme faits un peu plus secondaires :

– Verastegui ment sur le succès du film

– Verastegui affirme que les dons à sa fondation servent à offrir des billets mais ,jusque là, tout citoyen qui a voulu voir ce film (un petit budget déjà largement amorti) a du payer son entrée.

Le message de ce film est certes honorable , même si des dizaines de films, séries, livres ou documentaires sérieux existent déjà sur le sujet et sont facilement disponibles gratuitement ou contre un modeste abonnement – mais les messagers , y compris Tim Ballard, sont plus que problématiques.

Par conséquent, hormis le fait qu’il ne révèle rien de déjà connu, je ne cautionne pas ce film et pas un centime ne sortira de mes poches pour aller voir cette énième mascarade d’une époque troublée et exploitée par des opportunistes et des gourous sans foi ni loi.

Acheter un billet pour ce petit film de série B est ,en réalité, un acte indécent au vu des poches nauséabondes qu’il remplit.

Merci pour votre attention étant entendu que j’invite tout le monde à faire des recherches ou vérification supplémentaires.

ps : les deux vidéos mentionnées sont en espagnol mais des sous-titres automatiques décents sont disponibles sur YouTube